Au lever du jour, le lune est encore derrière le Kili.
On aperçoit un des glaciers sommitaux puis les pentes enneigées la veille. La végétation est plus rare.
Prêts à partir pour le dernier camp, au pied du Kili. Au petit déjeuner, nous avons rajouter un cachet d'aspirine pour prévenir le mal des montagnes.
Notre porteur attitré nain secoue la tente.
Joli petit oiseau dans les buissons.
Nous marchons maintenant dans la cendre : toujours polé, polé.
Panneau pour notre prochain campement. Nous ne marcherons pas beaucoup aujourd'hui.
Les porteurs nous devancent encore. Nous sommes seuls maintenant sur cette voie.
Philippe et Benoit bien concentrés.
Il n'y a plus de végétation : juste de la cendre et de la pouzolane.
A la pause, pour éviter de prendre froid, nous faisons une partie de pétanque avec le matériel du coin : pierres diverses.
Non, je n'ai pas mal à la tête.
Oui, Philippe n'est pas encore très bien et a froid.
Les trois guides ont trouvé un endroit où ils captent du réseau. Alors, ils sont aux nouvelles.
Reprise de la progression très très lente.
Le chemin commence à s'élever un peu.
Au fond, le camp de School hut mais pas de nuit en refuge comme annoncé sur le prospectus. Quand on commence en tente, on finit en tente.
Rituel de chaque soir : gonfler le thermarest. Là, c'est plus sportif, on est à 4700m.
Le refuge.
Notre tente repas pour un diner tôt à 17h. Le réveil est pour 23h30 avec départ à minuit. Philippe n'est pas en forme. Il n'a pas faim. Quant à Etienne, il ne vient même pas manger. Il a été malade toute la nuit précédente : une sorte de tourista. Il verra à minuit comment il se sent.
Vue plongeante sur le camp dans la fin du jour.